Une journaliste affirmait il y a quelques mois que Charlène de Monaco aurait été défigurée d’un côté du visage. Pourtant, la princesse est apparue sublime lors du défilé d’Akris. Charlène de Monaco affichait même un sourire lors de cette soirée dédiée à la mode. « Reste à comprendre les véritables raisons de son hospitalisation. Dépendance aux psychotropes et aux somnifères? Dépendance à l’alcool? (…) La dernière hypothèse sur son état évoque une chirurgie esthétique bâclée », soutenait le magazine Neue Post.

A l’époque, la publication se demandait où pouvait bien être passée la maman des jumeaux Jacques et Gabriella. Elle se trouvait alors en Afrique du sud, à l’origine pour peu de temps, mais avait fini par passer plusieurs mois sur sa terre natale. Il semblerait que la princesse soit passée au préalable par Dubaï.
Charlène de Monaco y aurait subi une opération de chirurgie esthétique à Dubaï. Mais cette dernière aurait été bâclée et l’épouse du prince Albert II se serait retrouvée défigurée sur la partie gauche du visage. Et d’après la publication, ce serait la raison pour laquelle elle est restée absente si longtemps du Rocher.

La raison officielle de son sejour prolongée en Afrique du sud était une infection ORL. Et dans les colonnes du magazine Paris Match, le prince Albert avait démentie toutes ces allégations. La rumeur a fini par se dégonfler d’elle-même. Récemment Charlène de Monaco est apparue radieuse.
Aussi bien aux funérailles de la reine Elizabeth II à Londres où elle accompagnait son mari, que lors des sorties qui ont suivi et dont la dernière en date est celle du défilé d’Akris, la princesse Charlène de Monaco a engrangé des montagnes de compliments de la part des internautes

Depuis son retour au Rocher, Charlène de Monaco a quelques fois été absente lors de cérémonies, comme le Bal de la Rose au mois de juillet où elle était très attendue. Durant cet été particulièrement, la princesse a très peu été vue aux côtés de son époux et de ses enfants. Les rumeurs à ce sujet, une fois de plus, ont fusé.